Je suis allé un peu plus loin dans la démarche pour un de mes moteurs.
Le moteur étant commercialisé que durant 2-3 années (une évolution niveau culasse et piston d'un moteur) je trouvais pas d'AAC ou à des coûts très importants (1000 dollars l'AAC d'admi...).
Du coup j'ai envoyé un AAC OEM pour définir le type de fonte, traitement thermique et épaisseur de celui-ci (pour voir si c'était possible de rectifier les cames sans perdre en fiabilité).
On en a déduit que non et du coup j'ai usiné des AAC dans un acier à nitruré (qui coûte une blinde...).
Du coup on a pas mal parlé de tribologie et lubrification avec le réctifieur et des probs d'usures qu'il rencontre sur des AAC retaillé.
Il m'a expliqué que sur des AAC non nitruré (une couche de nitru est quasi inusable même lors de prob de lubrif) l'état de surface était très important. Il m'a donné les coordonnées d'une société spécialisé (plus un centre de recherche) dans le traitement tribo sur pièces moteurs (AAC, poussoirs, vilo...).
Après traitement tribo (mise en œuvre d'une rugosité contrôlé sur l'ensemble des pièces), les résultats d'usure après une saison étaient proche d'un traitement DLC bien plus coûteux (je voulais faire un DLC à la base).
La société de tirbo m'a expliqué qu'il se base sur ce qui existe dans les moteurs Porsche car c'est un des constructeurs qui à poussé la recherche très loin dans ce domaine.
Une surface trop lisse serait néfaste pour la lubrification comme l'inverse et cela ce mesure et se modifie
