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Ford au 78e Salon International de l’Automobile de Genève – 6-16 mars 2008: Des premières, des championnes de l’économie et des records de vente
Au Salon de Genève de l’Automobile de cette année, Ford dévoile des temps forts en rafale avec trois premières mondiales – la Ford Fiesta, une famille de citadines conçues à partir d’une feuille blanche, la compacte Ford Kuga, un crossover éminemment important pour la Suisse, et la Ford Focus Coupé-Cabriolet, résolument revalorisée – de nombreux autres nouveaux modèles se recrutant dans toutes les gammes ainsi que la présentation de technologies écologiques à un prix raisonnable. Les chasseurs de news dans les halles de Palexpo ne peuvent pas ignorer Ford. Ce cocktail pétillant de thèmes est complété par des faits concrets issus du monde du championnat des rallyes ainsi que par l’annonce de records sur le front commercial.
« Bienvenue à Genève à un Salon de l’Auto qui, du point de vue de Ford Europe, laisse entrevoir des perspectives fantastiques – nous nous attendons à ce que 2008 soit l’une des années les plus riches en événements de l’histoire de notre société !» John Fleming, président & CEO de Ford of Europe, décrit sans ambages l’ambiance qui règne dans l’entreprise. En effet, 2007 avait déjà été une année à marquer d’une pierre blanche car, cette année-là, Ford Europe a enregistré pour la sixième fois consécutive une augmentation de son chiffre d’affaires – plus de 2 millions de clients ont opté pour une Ford neuve et, avec 370 000 ventes, la catégorie des utilitaires a progressé à elle seule de dix pour cent. Grâce à ce développement et à l’optimisation permanente des structures de coûts, Ford a dégagé en 2007 un bénéfice avant impôts de 997 millions de dollars, grâce à quoi, en Europe, elle a réussi l’exploit d’obtenir, au cours de ces huit dernières années, un excédent de deux bons milliards de dollars.
La Kuga – le premier crossover compact de Ford Europe
Et cela va continuer dans le même style en 2008 aussi – une prévision qui s’appuie, pour une bonne part, sur la forte demande que génère une palette de produits aussi gais qu’attractifs. Celle-ci profite notamment de l’expressif langage formel « Ford kinetic Design », qui marque de son sceau la physionomie des voitures et garantit que chaque Ford ait un plumage à la hauteur de son ramage – en termes de dynamique de conduite, les produits sont brillants et font mouche auprès des clients. Ce qui est aussi le cas de la nouvelle Kuga qui, avec la Focus à trois et à cinq portes ainsi que sa version break « Station Wagon » ou la C-MAX, sort des chaînes de l’usine de Saarlouis. Brillante par sa dynamique exceptionnelle et ses remarquables talents de baroudeur, l’élégante et robuste Kuga sera dès cet été le premier modèle Ford européen à s’attaquer au segment des crossovers compacts – un segment âprement disputé et en pleine croissance, mais éminemment important pour la Suisse. Ce SUV de 4,44 mètres de long et 1,64 mètre de haut possède la même architecture que ses cousines la Focus et la C-MAX, mais avec une chaîne cinématique à transmission intégrale qui s’est enrichie d’un embrayage Haldex. Ford Suisse propose la cinq-portes en une seule et unique version à quatre roues motrices, ayant décidé de renoncer à importer son homologue exclusivement à traction avant.
Les clients de Kuga ont également le choix pour le niveau de finition : avec Carving et Titanium, Ford leur propose deux lignes d’équipement minutieusement conçues pour répondre au goût des acheteurs. La dotation englobe respectivement le programme de sécurité et de stabilité ESP avec prévention intégrée des tonneaux ARM (Anti Rollover Mitigation) et un ABS avec répartition électronique de la force de freinage EBD (Electronic Brakeforce Distribution). Dans l’habitacle, cinq adultes bénéficient d’une habitabilité souveraine et de sièges confortables. La banquette arrière se rabat à 60:40, faisant place à un espace de chargement totalement plan qui permet de transporter des objets d’une hauteur maximale de 75,8 cm. Le coffre a alors une capacité de 1355 litres (360 l en configuration à cinq places). Des tiroirs de rangement supplémentaires sous les fauteuils de la deuxième rangée de sièges et sous le plancher du coffre, d’une capacité de 50 litres, complètent l’habitabilité. Et : si l’on ne désire déposer dans le coffre que des objets peu encombrants, il suffit d’actionner de petites touches ou la télécommande pour ouvrir uniquement la partie supérieure du hayon à deux ouvrants.
Ce crossover est mû par un Duratorq TDCi Turbodiesel à injection directe par rampe commune, un quatre-cylindres de deux litres qui lui assure de puissantes reprises. Avec ses quatre soupapes, il développe une puissance de 136 ch (100 kW) qu’il transmet à la boîte manuelle à six vitesses, la dotation de base départ usine, et délivre un couple de 320 newtons-mètre dès 2000 tours. La régulation overboost majore même brièvement cette valeur à 340 Nm. Avec une consommation moyenne de 6,4 litres pour la version 4x4, la Kuga se distingue en outre par une très grande sobriété. Grâce à des émissions de CO2 de 169 g/km, ce tout-terrain établit même un record dans sa catégorie.
Ford Fiesta – une véritable révolution dans le segment des citadines
Avec la Fiesta, Ford présente une autre première mondiale. La nouvelle version, modernisée et dynamique, de la classique fera son entrée au Salon en une version de carrosserie à trois portes en attendant sa commercialisation à la fin du second semestre. Elle sera là pour ajouter un nouveau chapitre à sa saga qui perdure depuis plus de trente ans déjà : depuis sa présentation en 1976, plus de douze millions d’exemplaires sont sortis des chaînes. « La Fiesta possède incontestablement des racines européennes, mais elle a bel et bien été conçue pour le marché mondial », déclare Marin Burela, directeur du développement, pour expliquer le processus innovant de ‘Global Product Development’. « Nous avons mis à profit l’expérience que Ford possède des citadines pour inoculer à la nouvelle une ambition et une identité mondiales. » L’idée qui préside à cette voiture est qu’à partir de 2010, la gamme ne sera pas construite seulement en Europe, mais aussi en Asie, en Afrique du Sud et en Amérique du Nord.
Contrairement à de nombreux modèles concurrents, la Fiesta reste fidèle à ses cotes extérieures habituelles. Qui plus est, les spécialistes ont réussi à réduire son poids à vide en faveur d’une plus faible consommation et de moindres rejets de polluants. Mais ils n’ont toléré aucun compromis sur le plan de la sécurité, bien au contraire : la toute dernière génération de cette classique se distingue par une rigidité structurelle qui la rend véritablement révolutionnaire. Ceci a été possible grâce à l’utilisation d’aciers à haute résistance comme les aciers au bore et double phase, réservés aux zones particulièrement critiques, par exemple les montants A et B. Le système de sécurité intelligent IPS (Intelligent Protection System), avec airbag de genoux pour le conducteur, complète la protection passive.
Les ingénieurs ont aussi accordé une grande attention à la dynamique typique de la marque et à la sûreté du comportement – toutes propriétés qui figurent traditionnellement parmi les points forts de la Fiesta. Pour cela, le train avant avec jambes élastiques MacPherson ainsi que la suspension à barres de torsion du train arrière ont été repris de sa devancière, mais après avoir été modifiés en profondeur sur de nombreux points de détail. Le résultat est tout bénéfice pour le confort : la Fiesta convainc par un niveau acoustique étonnamment bas dans cette catégorie. En outre, la direction assistée électrique E-PAS (Electric-Power Assist Steering), qui fête ses débuts sur la Fiesta, lui donne des avantages significatifs. L’effort à exercer sur le volant à basses vitesses est moindre, mais, dans les virages ou aux vitesses supérieures, elle donne un retour d’informations bienvenu et des sensations de toucher agréables. Mais l’E-PAS a aussi une incidence positive sur la consommation : à la différence des directions assistées hydrauliques, qui fonctionnent en permanence dès que le moteur tourne et, à cette occasion, gaspillent de l’énergie, la pompe d’assistance à commande électrique n’intervient qu’en cas de besoin.
Pour la propulsion, Ford a misé sur cinq motorisations économiques. La première en est le 1,25 litre Duratec à essence bien connu, de 60 ch (44 kW), dont il existe aussi, en option, une variante de 80 ch. Il est suivi par un 1,4 litre à essence de 91 ch. Une nouveauté au programme est le 1,6 litre Duratec Ti-VCT à essence avec arbre à cames à distribution variable, qui surclasse son prédécesseur de 15 ch avec une puissance de 115 ch (85 kW). Enfin, le 1,6 litre Duratorq TDCi Turbodiesel, de 90 ch (66 kW) et à filtre à particules a reçu une injection directe par rampe commune améliorée avec une gestion moteur électronique optimisée. Outre les boîtes manuelles à cinq vitesses, la Fiesta est aussi disponible sur demande avec la boîte automatique Durashift à quatre rapports qui se distingue par un confort tout particulier et un grand rendement. Parmi les autres fonctionnalités techniques, citons le bouton de démarrage « Ford Power » intégré au tableau de bord, y compris le système KeyFree permettant d’ouvrir et de fermer la voiture sans clé.
Une Focus Coupé-Cabriolet méconnaissable
Avec la Focus Coupé-Cabriolet devenue encore plus attrayante, Ford présente, enfin, la troisième de ses premières mondiales. Une nouveauté est que la quatre-places est maintenant elle aussi traitée selon le « Ford kinetic Design » et suit ainsi les traces de ses sœurs à trois, quatre ou cinq portes, sans oublier le traditionnel break Station Wagon, qui ont tous fait leurs débuts à l’IAA de Francfort avec une proue redessinée. Avec le coupé-cabriolet, celle-ci se distingue par un capot moteur tridimensionnel, des phares descendant très bas le long de la carrosserie ainsi que deux prises d’air de refroidissement, dont la partie inférieure à trapèze inversé est ornée par de minces joncs chromés. Naturellement, la Focus décapotable continue de sortir des chaînes de l’usine Pininfarina de Bairo, le partenaire de développement et de production, et allie un agrément de conduite sans souci à des avantages concrets en utilisation quotidienne. Ainsi cette voiture qui peut affronter sans hésitation les rigueurs de l’hiver brille-t-elle par un coffre d’une capacité de 534 litres lorsque le toit est refermé – un record dans cette catégorie. En mode décapotable, le coffre à bagages a encore une capacité de 248 litres. A cela s’ajoute un habitacle largement revu et corrigé qui propose des instruments redessinés et mieux lisibles à éclairage rougeâtre pour la nuit. De même, les formes fluides de la nouvelle console centrale reprennent des éléments de la philosophie de design moderne. Ainsi, outre un accoudoir réglable sur 80 millimètres et un vide-poches de quatre litres, elle renferme aussi deux porte-bouteille ainsi que des évidements pour les pièces de monnaie et une pince à ticket de parking.
Comme motorisation de base, la Focus Coupé-Cabriolet est proposée avec un quatre-cylindres Duratec 1,6 litre de 100 ch (74 kW), lequel est suivi par le deux-litres de 145 ch (107 kW) que l’on peut commander au choix avec une boîte manuelle à cinq vitesses à l’étagement sportif ou avec une transmission automatique qui privilégie le confort. Comme alternative à moteur diesel, Ford propose le TDCi de 2,0 litres de cylindrée (136 ch/100 kW) pour un couple de 320 Nm (overboost : 340 Nm), qui allie idéalement des performances sportives à une faible consommation. Des modifications sophistiquées garantissent à ce propos que ce quatre-cylindres soit encore plus séduisant avec une douceur de fonctionnement encore supérieure et un plus grand confort acoustique, ce qui correspond d’ailleurs au caractère décontracté d’un coupé-cabriolet. Un châssis rigide à la torsion, les liaisons au sol agiles ainsi qu’une direction précise constituent les bases du comportement dynamique du coupé-cabriolet que Ford appelle PrecisionDrive. Un programme de sécurité et de stabilité électronique ESP avec régulation antipatinage intégrée fait partie de l’équipement de série au même titre que le circuit de freinage à quatre disques avec assistance de freinage d’urgence EBA (Emergency Brake Assist), le système de protection actif contre les tonneaux RPD (Rollover Protection Device) ou les airbags frontaux et latéraux.
Un nouveau diesel de 2,2 litres et une Focus RS WRC
Ford revendique une autre première avec le moteur diesel 2,2 litres Duratorq TDCi à la puissance revue à la hausse, qui est destiné aux modèles Mondeo, S-MAX et Galaxy. Ce moteur à combustion instantanée de 175 ch (129 kW) met en œuvre une technique de suralimentation moderniste et l’injection directe par rampe commune – avec pour résultat qu’il délivre déjà un couple de 400 newtons-mètre à 1750 tours (overboost : 420 Nm), ce qui lui assure des valeurs d’accélération et d’élasticité souveraines. Parallèlement à ce moteur à gazole, Ford revalorise les gammes Mondeo et S-MAX avec la ligne d’équipement « Titanium S ». Extrapolée de l’ancienne version haut-de-gamme Titanium, elle se distingue par un style de carrosserie encore plus sportif ainsi que des éléments d’avant-garde significatifs dans l’habitacle. De même, le châssis Sport surbaissé de 15 millimètres ainsi que les tarages plus fermes pour les ressorts et les amortisseurs lui confèrent encore plus d’agilité. Les jantes alu de 18 pouces, les phares bi-xénon avec éclairage en virage et le pédalier en aluminium complètent sa présentation sportive.
Enfin, le thème du « Championnat du Monde des Rallyes », auquel Ford Europe participe aussi en 2008, garantit du sport de très haut niveau. A cet effet, la toute nouvelle Focus RS WRC – qui a remporté le Championnats du Monde des Marques en 2006 et 2007, s’aligne au départ avec un graphisme inédit qui présente avec encore plus de clarté et de modernisme les couleurs des partenaires du Team BP Ford Abu Dhabi. Simultanément, l’écurie, qui a son port d’attache à Dovenby Hall en Angleterre engage, pour le CM des Rallyes disputé sur quinze manches, une équipe de pilotes très prometteurs qui associent le talent de la jeunesse à la valeur de l’expérience. Outre le Finlandais Mikko Hirvonen (27 ans) et son copilote Jarmo Lehtinen, leur compatriote Jari-Matti Latvala (22 ans) prend le volant de la deuxième turbo à quatre roues motrices avec comme navigateur Miika Anttila. Khalid Al Qassimi (35 ans) et Michael Orr vont piloter une troisième Focus RS World Rally Car lors de dix manches sélectionnées pour cette saison.
Une technologie écologique à portée de toutes les bourses pour aujourd’hui et demain
Mais, outre ses stars de la compétition, Ford présente aussi à Genève de nombreuses solutions modernes pour une mobilité plus durable. Concrètement, une flotte au grand complet de véhicules particulièrement peu polluants. Ils ont comme dénominateur commun d’être respectueux de l’environnement, pratiques, d’un prix modique et disponibles dès aujourd’hui. Les meilleurs exemples en sont la famille ECOnetic, qui se compose de voitures à faibles émissions de CO2, ainsi que la flotte Flexifuel. Elle roule au bioéthanol – une technologie que Ford, en tant que pionnier et leader du marché en Europe, fait avancer avec beaucoup d’engagement. Depuis quelques années déjà, l’entreprise figure parmi les leaders européens pour la technologie Flexifuel qui utilise l’énergie provenant de biomasse renouvelable. Alors que les modèles Focus et C-MAX figurent depuis longtemps déjà au programme Flexifuel, l’offre va maintenant se compléter de variantes correspondantes également pour les gammes Mondeo, S-MAX et Galaxy.
Le premier représentant de la famille de modèles ECOnetic respectueux de l’environnement est la Focus, qui possède comme motorisation le Duratorq TDCi de 1,6 litre de 109 ch (80 kW), un moteur efficace équipé d’un filtre à particules. Pour réduire encore plus la faible consommation des modèles de série, les spécialistes se sont aussi attaqués en première ligne à la diminution des résistances au roulement. Ainsi des pneus spéciaux à basse résistance de la dimension 195/65 R 15 diminuent-ils la résistance au roulement tandis que le châssis surbaissé de dix millimètres et le kit de carrosserie spécifique (nouveau tablier avant, nouvelles jupes latérales) optimisent l’aérodynamique. De même, les ouïes de la partie inférieure de la calandre ont été occultées de l’intérieur. Résultat : un coefficient de résistance aérodynamique (Cx) amélioré de 0,31. Résultat : déjà faible a priori, la consommation de la Focus TDCi retombe de 4,5 à 4,3 litres aux 100 km, soit un rejet de CO2 de 115 g/km seulement.
En janvier 2008, au Detroit Motor Show, Ford Motor Company a déjà présenté une famille de moteurs « EcoBoost » entièrement nouvelle qui se distingue spécialement par une plus grande sobriété et de moindres rejets de CO2. Ces innovants quatre et six-cylindres allient une technologie ultramoderne d’injection directe de l’essence et la suralimentation, permettant ainsi un meilleur rendement et un couple plus puissant malgré une diminution simultanée de la cylindrée. La technologie EcoBoost a fêté ses débuts avec la nouvelle Lincoln MKS. Le modèle phare de la marque va être commercialisé en Amérique du Nord en 2009 et possédera un V6 de 3,5 litres à double suralimentation. D’autres motorisations EcoBoost sont prévues pour la nouvelle Ford Flex et de nombreuses autres gammes – de la citadine aux gros SUV et pick-up.
http://www.fordmedia.eu/presskits/geneva08/
http://www.fordmedia.eu/presskits/genev ... French.pdf
